Violences sexuelles et sexistes

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Investir dans des solutions communautaires pour mettre fin à la violence sexuelle et fondée sur le sexe

Sexual and gender-based violence

Nos efforts pour lutter contre la violence fondée sur le sexe et sexuelle (VFSS) reposent sur des investissements dans trois piliers interconnectés. Premièrement, nous soutenons des initiatives de prévention qui s’attaquent aux causes profondes de la violence et visent à l’empêcher avant qu’elle ne produise. Deuxièmement, nous investissons dans des services de soutien et d’intervention qui offrent une aide immédiate et des soins à long terme aux survivant·e·s. Troisièmement, nous promouvons l’accès à la justice en renforçant les protections juridiques et les mécanismes visant à assurer la responsabilité afin de garantir le respect des droits des survivant·e·s.

Impact

Financé

32 innovations uniques

dans 26 pays 

Touché

1 700 000 personnes

qui n’auraient pas eu accès à l’aide autrement

Amélioré plus de

400 000 vies

grâce à des services et des interventions directs 

Sauvé plus de

200 vies

grâce à des services de soutien et de protection essentiels 

Coup de projecteur : Ujamaa Africa-Kenya

Prévenir la violence sexuelle grâce à une formation sur l’autonomisation

Au Kenya, où une adolescente sur quatre est victime d’agression sexuelle au cours de sa scolarité, Ujamaa-Africa prouve que la prévention est possible. Leur formation Empowerment Transformation est un programme scolaire de 6 semaines et 12 heures qui enseigne aux filles âgées de 10 à 19 ans comment définir des limites ainsi que l’affirmation verbale et l’autodéfense physique. Les garçons sont également formés dans le cadre du programme Hero in Me pour remettre en question les normes néfastes et intervenir lorsqu’ils sont témoins de violence. Depuis 2019, avec le soutien de Grands Défis Canada, Ujamaa a touché plus de 115 000 élèves, dont plus de 26 000 filles ont déclaré avoir utilisé avec succès ces compétences pour se protéger, et plus de 11 000 garçons ont déclaré être intervenus pour arrêter des agressions. Le modèle est en cours d’adaptation pour une mise à l’échelle nationale en collaboration avec le ministère de l’Éducation et la Commission des services aux enseignants. 

Ce que nous mesurons

Le portefeuille suit les changements significatifs dans quatre dimensions clés :

Femmes et filles :

mesurer le changement en relation avec la capacité d’agir des femmes. Les questions portent généralement sur la prise de décision dans un ménage, l’accès aux services, aux communautés et aux réseaux, le changement dans les connaissances, etc. La fréquentation scolaire, les mariages et les grossesses précoces sont des mesures souvent suivies pour les filles plus jeunes.

Hommes et garçons :

mesurer le changement en fonction des attitudes et des comportements des hommes. Détermine dans quelle mesure les garçons ou les hommes sont d’accord avec un ensemble de préjugés ou de croyances sur le rôle des hommes et des femmes dans un ménage.

Famille et communauté :

mesurer le changement en relation avec les attitudes et les normes communautaires. Cherche à saisir l’acceptabilité sociale de la violence et des normes sexospécifiques qui l’encouragent.

Utilisation et qualité des services :

mesurer le changement dans l’utilisation et la qualité des services. Étant donné l’importance pour les survivants d’accéder à un soutien efficace, à la fois en matière de rétablissement et d’accès à la justice, mais aussi en termes de dissuasion des auteurs potentiels, cela peut être un domaine important pour suivre le changement.

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