Chef(s) de projet: Ronald Lett
Comme de nombreux pays à revenu faible ou intermédiaire, le Nigéria est confronté à des taux élevés de mortalité maternelle et néonatale, dus en grande partie au fait que 50 % des mères accouchent chez elles avec l’aide de sages-femmes qui ont une formation limitée, et au manque d’information sur les risques de la grossesse et les options pour l’accouchement. L’AEPM développe une application de diagnostic au point de traitement, de formation et de sensibilisation qui utilise les données de la patiente et les signes de risque obstétricaux pour produire un plan de gestion axée sur les risques à l’intention des sages-femmes, en leur permettant ainsi qu’aux travailleurs sur le terrain de promouvoir les soins en envoyant des textos aux femmes enceintes. Les objectifs comprennent une augmentation de 25 % de l’utilisation des antihypertenseurs, des antibiotiques et des fluides intraveineux (dont des produits sanguins) dans le groupe d’intervention par rapport au groupe témoin, et une augmentation de 25 % des accouchements sous soins qualifiés et intervention opératoire dans le groupe d’intervention.